Pourprès de la moitié des Français, 48%, elle a constitué un crime contre l'humanité, alors que 94% des Algériens formulent la même accusation. Sur l'indépendance, la fracture est aussi La France divisée contre elle-même. La France n’est pas seulement en déclin elle est aussi en pleine sa puissance diminue, son essence s’altère à une vitesse plus grande siècles d’anthropocentrisme ont greffé en son sein une autre nation, qui la phagocyte et tente de se substituer à elle l’Antifrance, autrement nommée République des Lumières. Fiche produit Nombre de pages 312 Épaisseur 23 mm Largeur 150 Hauteur 210 Auteur Avocat au barreau de Paris, imbibé de littérature et d’histoire, Adrien Abauzit publie aux éditions Altitude son premier essai, La France divisée contre elle-même. Il vient d’achever son dernier livre L’affaire Dreyfus – Entre farces et grosses ficelles. Vidéo France Même assouplie, la réforme des rythmes divise toujours AFP, le 06/05/2014 à 17:23; Modifié le 06/05/2014 à 19:40; Lecture en 2 min. Même assouplie, la réforme des rythmes divise De passage en France au moment des annonces d’Emmanuel Macron, j’ai pu recueillir les impressions de mes compatriotes. La colère monte, mais lorsqu’elle ne reste pas silencieuse, elle se meut maladroitement, jusqu’à épouser sa réputation de mauvaise conseillère. Les oppositions à la politique actuelle existent, mais sont-elles adaptées? Et surtout, n’est-ce pas un peu tard pour se réveiller?© f_philippotL’année dernière, je faisais le regrettable constat de l’apathie quasi totale des Français face à la gestion incohérente et liberticide de la crise Covid. La comparaison avec la Suisse, habituellement docile et résignée, était percutante. Aujourd’hui, qu’est-ce qui a changé? Les annonces d’Emmanuel Macron sur le pass sanitaire et l’obligation vaccinale pour certains corps de métiers ont fait l’effet d’une goutte d’eau dans le vase de l’acceptation. Le président a réveillé, à son corps défendant, l’esprit contestataire qui végétait chez certains Français. Désormais, ils sont plusieurs centaines de milliers à battre régulièrement le pavé d’un bout à l’autre de l’Hexagone, pour dénoncer ce qu’ils sont de plus en plus nombreux à considérer comme une dictature sanitaire. On commence à distinguer à nouveau l’anticonformisme et la défiance constitutifs de ce pays qui s’est illustré, tout au long de l’histoire, pour sa propension à se révolter contre le pouvoir établi et ses injustices. Les Français ont finalement décidé de rejoindre la lutte contre les mesures sanitaires. Les Champs-Elysées se teintent à nouveau de jaune tous les samedis, sur le rythme de la hargne et du ras-le-bol qui montent. Désormais, il semble clair pour les opposants que le combat, tout comme la crise qui l’a provoqué, n’a plus rien de sanitaire. Il s’agit d’une bataille de raison. D’honneur même. Car il est difficile pour eux de supporter les mensonges à répétition d’un gouvernement qui, par exemple, assurait ne jamais franchir le pas de la vaccination obligatoire, tout en préparant le terrain dans l’ombre. Un pareil tour de force ne s’inventant pas du jour au lendemain. Difficile aussi de voir se réaliser les prophéties de ceux qu’on aimait à taxer de complotistes et à qui Macron et consorts sont en train de donner raison. Car, il est vrai, le chef de l’Etat est allé loin. Trop loin. Même Samia Hurst, vice-présidente de la task force suisse, a parlé de dérive», de disproportion» et de conflit de valeurs» pour qualifier les décisions du président. Celles-ci créent des discriminations, imposent des dilemmes cartésiens à certains fonctionnaires, au risque de les voir quitter le navire, mais surtout, elles achèvent de diviser une population déjà passablement déchirée. Les décisions de Macron, en passe d’être entérinées à l’Assemblée nationale, agacent d’autant plus qu’elles donnent aux Français le sentiment qu’on les prend pour des cons. Il eût mieux valu rendre la vaccination obligatoire pour tous, puisqu’on n’est plus à un pied de nez aux valeurs de la République – comme à celles de la médecine – près, plutôt que de donner l’illusion du choix à un peuple que l’on a progressivement conditionné dans une seule et unique direction. Bons et mauvais citoyens Lors de mon passage en France, début juillet, j’ai pu constater une fracture entre les bons élèves», ceux qui ont la satisfaction d’avoir suivi les consignes et d’en être récompensés, et la déroute totale des autres, qui ne sont pas d’accord avec ce qui se passe, mais ne savent plus comment faire pour y échapper. L’année dernière, le sujet du Covid avait été soigneusement écarté lors des fêtes de Noël familiales, tant il était source potentielle de conflits. Mais ce coup-ci, en confrontant mes proches, j’ai senti qu’on avait passé un cap. Que, cette fois, tout cela allait trop loin et que même les plus modérés avaient atteint leur limite. Nous n’allons quand même pas changer de pays. Nous ne savons pas quoi faire», m’a confié une de mes tantes, totalement désemparée. Cependant, toute la France n'est pas dans la rue et les opposants restent une minorité, puisque la propagande gouvernementale et médiatique a fait son travail avec brio. Parce que la façon la plus efficace de forcer les gens à obéir est de créer les conditions pour qu’ils le fassent volontairement. Parce que le cerveau humain est ainsi fait qu’il ne peut pas envisager une vérité qu’il ne serait pas en mesure d’assimiler ou qui remettrait trop profondément en question ses certitudes. Quand il est bien plus facile de se dire que notre gouvernement agit dans notre intérêt, sans biais, et qu’il nous faut lui faire confiance. Parce que la plupart des gens n’ont pas les ressources nécessaires à remettre les ordres en question, ni même à s’interroger. Je préfère continuer à faire ce qu’on me dit sans y penser, sinon je finirais par me rendre malade face à tant d’incohérence», me partageait récemment un compatriote. Parce que, aussi, les fers de lance de l’opposition sont soit des infréquentables autoproclamés, soit dépassés par la mission dont ils se sont investis. Et si l'on veut défendre les valeurs de Rousseau, on doit parfois accepter de s'associer avec ceux qui, en temps normal, nous rebutent. En France, comme en Suisse, l'opposition semble recouvrir une couleur politique bien résistance qui part dans tous les sens Pour exemple, l’émission organisée par la web télé La Une TV, le 24 juillet, promettait de réunir les figures de proue de la révolte. Au menu des spécialistes reconnus dans leur domaine, tels que Christian Perronne, Alexandra Henrion-Caude ou encore Jean-Dominique Michel. Mais également des blogeurs, des influenceurs et des personnalités controversées tels que Chloé Frammery et François de Siebenthal. Un mélange des genres qui perd le public, noie le poisson et, in fine, dessert la cause. Parce que non, les citoyens qui s’interrogent et remettent en question la stratégie gouvernementale ne sont pas tous des complotistes. Non, ceux qui hésitent à se faire inoculer un vaccin contre une maladie qui fait 0,05% de létalité ne sont pas tous des antivax. Ceux qui descendent dans la rue pour lutter contre l’oppression et exiger que l’on cesse de bafouer leurs droits et leurs libertés ne se sont pas tous mis à faire de sombres comparaisons avec Hitler et la Shoah. Les nombreux experts et médecins qui tentent de souligner les incohérences scientifiques auxquelles on nous soumet jour après jour ne sont pas tous des illuminés. Peut-être serait-il temps de cesser de traiter ces gens avec mépris, de les culpabiliser, de leur imposer une vision des choses qui n’est pas la leur et de leur faire confiance pour prendre soin d’eux-mêmes? Peut-être serait-il temps que les médias cessent leur matraquage quotidien et unilatéral, relayant uniquement les études qui vont dans leur sens, ignorant les autres, tout en faisant passer les vaccinosceptiques pour des abrutis, à coup de raccourcis? Il y a un monde en dehors du vaccin Quelques jours après les annonces tonitruantes d’Emmanuel Macron, l’Institut Pasteur a discrètement reconnu l’efficacité de l’Ivermectine contre le Covid, après des tests sur des hamsters. Interrogé par le Pr François Lemoine, immunologiste à l’AP-HP Assisstance Publique - Hôpitaux de Paris explique Pour proposer un traitement à des humains, il faut faire des essais cliniques avec des humains, en utilisant des comparatifs». Ces essais cliniques auront-ils lieu? Proposera-t-on des solutions moins risquées pour se sortir de cette situation, ou continuera-t-on sur la voie de la division et de la régression en termes d’acquis sociaux péniblement arrachés au fil des millénaires? Vu les récentes déclarations d’Olivier Véran, selon qui la prochaine vague sera de la faute des jeunes qui refusent de se faire injecter le vaccin d’un virus dont ils ne souffrent pas, l’apaisement est encore loin. Emmanuel Macron et ses ministres semblent l’avoir bien intégré, il faut diviser pour mieux régner». Il revient désormais au peuple de prendre, ou non, son destin en main.
Matthieu12 25 Comme Jésus connaissait leurs pensées, il leur dit: Tout royaume divisé contre lui-même est dévasté, et toute ville ou maison divisée contre elle-même ne peut subsister. 26 Si Satan chasse Satan, il est divisé contre lui-même; comment donc son royaume subsistera-t-il? 27 Et si moi, je chasse les démons par Béelzébul, vos fils, par qui les chassent
Étiquette La France divisée contre elle-même
Unrésumé critique du livre d'Adrien Abauzit La France divisée contre elle-même qui relate le remplacement du Français par l'homme
Samedi 17 novembre, un mouvement hétéroclite et né sur les réseaux sociaux menace de bloquer 1 000 sites en France afin de protester contre la hausse des taxes sur le carburant. Ralliés derrière le symbole du “gilet jaune” présent à bord des voitures en cas d’incident, les mécontents protestent désormais contre les mesures de l’exécutif dans leur ensemble. “Le gouvernement français a été pris de court par le mécontentement qui a circulé sur les réseaux sociaux contre la gestion de M. Macron”, souligne le Times, qui indique que “sa tournée de commémorations de l’armistice de la Première Guerre mondiale a été entravée par les protestations”. L’exécutif ne cède pas sur le fond Résultat, “c’est le branle-bas de combat dans l’exécutif”, relate le journal belge Le Soir, qui y voit “le signe d’une fébrilité certaine devant cette colère sociale atypique née de la hausse du prix des carburants”. Le Premier ministre Édouard Philippe a annoncé une série de mesures pour calmer le mouvement, comme la défiscalisation d’indemnités kilométriques, l’extension des “chèques énergie” ou la prime à la conversion pour acheter un véhicule moins polluant. “Mais l’exécutif n’a rien cédé sur l’essentiel, à savoir la taxation des carburants, motivée par la transition écologique”, constate le quotidien de Bruxelles. “Le feu s’est d’autant plus propagé que le terrain était inflammable, analyse Le Soir. Le pouvoir d’achat stagne, mais pas seulement.” “Il y a eu un certain nombre de colères disparates qui se sont cristallisées chez les automobilistes, explique un familier de l’Élysée. Il y a la hausse du prix des carburants, mais aussi la limitation de la vitesse à 80 km/h sur les départementales.” Ce mouvement est aussi le signe des divisions françaises, avance le journal belge “Au malaise social se greffe une dimension territoriale. L’impression prévaut qu’Emmanuel Macron est aussi le président des villes’ et néglige la France périphérique.” “Le mouvement a divisé la France à mesure que la colère monte dans les zones rurales et les petites villes, où la plupart des gens prennent la voiture pour aller au travail”, rapporte le Times. Le journal britannique met l’accent sur la récupération politique très rapide de cette colère, notamment par l’extrême droite, “et à un degré moindre par les républicains de Laurent Wauquiez”. De son côté, Le Soir note que “l’extrême droite attise le feu même si sa chef de file ne prendra pas elle-même part aux manifestations”.
UneFrance rongée par des antagonismes instrumentalisés. Une France en quête d'un avenir positif que ses élites torpillent, renvoyant sans cesse les Français vers leurs divisions. Une France qui fourmille d'initiatives locales, mais ligotée par des règles que les français subissent et ne comprennent plus.
Sérieusement ça fait pas SEGPA ce titre ? On se sent de grande culture française et on titre son bouquin avec un pléonasme digne d'un titre de rédaction de 6ème Le livre est peut-être très bon en plus, mais juste en voyant le titre j'ai jamais pu m'en approcher Des kheys qui l'ont lu ? Le 22 septembre 2021 à 142918 Sérieusement ça fait pas SEGPA ce titre ? On se sent de grande culture française et on titre son bouquin avec un pléonasme digne d'un titre de rédaction de 6ème Le livre est peut-être très bon en plus, mais juste en voyant le titre j'ai jamais pu m'en approcher Des kheys qui l'ont lu ? Il avait fait une bonne analyse sur Dreyfus mais je le trouve chiant à écouté perso Le 22 septembre 2021 à 143026 Le 22 septembre 2021 à 142918 Sérieusement ça fait pas SEGPA ce titre ? On se sent de grande culture française et on titre son bouquin avec un pléonasme digne d'un titre de rédaction de 6ème Le livre est peut-être très bon en plus, mais juste en voyant le titre j'ai jamais pu m'en approcher Des kheys qui l'ont lu ? Il avait fait une bonne analyse sur Dreyfus mais je le trouve chiant à écouté persoC'est plutôt raccord avec ce que j'imagine sur lui alors, il doit pas être très bon en français et en communication Titre de segpa, je confirme Le 22 septembre 2021 à 143525 Titre de segpa, je confirmeLa France en guerre civile de l'intérieur Message édité le 22 septembre 2021 à 143944 par Zazizouz Le pire c'est que juste en enlevant des mots, ça aurait donné "La France divisée" ou "La France contre elle-même" et ça aurait été moins dégueulasse déjà Le 22 septembre 2021 à 143615 Le 22 septembre 2021 à 143525 Titre de segpa, je confirmeLa France en guerre civile de intérieur "divisée contre elle-même" ah oui chaud La France multipliée avec l'étranger Le 22 septembre 2021 à 143714 Le 22 septembre 2021 à 143615 Le 22 septembre 2021 à 143525 Titre de segpa, je confirmeLa France en guerre civile de intérieur Le déclin économique de la France en terme d'économie La désindustrialisation de la France dans l'industrie Le 22 septembre 2021 à 143740 La France multipliée avec l'étranger La France islamisée par l'islam La France gagnante pour la victoire Je suis d'accord avec toi-même La France vs La république ! Adrien qui va soutenir le Z ! Vous rigolez mais la moitié des expressions en France fonctionne comme ça - monter en haut - sortir dehors - au jour d'aujourd'hui - être d'accord avec quelqu'un ... Le 22 septembre 2021 à 144325 Adrien qui va soutenir le Z !Adrien qui démystifie l'affaire Dreyffus pour voter pour Zemmour On sent qu'il a tout compris à Drumont Le 22 septembre 2021 à 144346 Vous rigolez mais la moitié des expressions en France fonctionne comme ça - monter en haut - sortir dehors - au jour d'aujourd'hui - être d'accord avec quelqu'un ...Monter en haut et sortir dehors ça se dit pas segpalin Le 22 septembre 2021 à 144100 La France gagnante pour la victoire Aya Abauzit est un malade mentalSon livre c'est de la merde d'illuminé Victime de harcèlement en ligne comment réagir ?
LaFrance divisée contre elle-même - Adrien Abauzit 310 p. Éd. Altitude, 2017. Dim : 14,8 x 21 cm En achetant ce produit vous pouvez gagner jusqu'à 2 points de fidélité. Votre panier totalisera 2 points pouvant être transformé (s) en un bon de réduction de 0,60 € . Envoyer à un ami Imprimer 20,00 € Quantité Ajouter au panier

Richard Werly est le correspondant permanent à Paris du quotidien suisse Le Temps. Il a grandi dans la Nièvre au pied de la ligne de démarcation. Il répond à mes questions à l’occasion de la parution de son ouvrage La France contre elle-même » chez Grasset. Vous avez arpenté la ligne de démarcation qui avait divisé la France à partir de 1940 et vous trouvez de curieuses permanences… La ligne de démarcation de 1940, imposée par l’occupant et le vainqueur allemand, n’avait bien sûr rien à voir avec les fractures d’aujourd’hui qui sont sociales, économiques, identitaires, religieuses. Il ne s’agissait donc pas pour moi d’enquêter sur une quelconque analogie. Le rapprochement historique, en revanche, tient sur un sujet qui, je crois, sous-tend beaucoup des préoccupations actuelles des Français l’angoisse de la disparition de la France. Ce thème, rebattu durant la campagne présidentielle par certains candidats, en dit long sur le malaise généralisé du pays. Or s’il est une période qui prouve, avec son lot d’accommodements ou de comportements inacceptables, que la France ne disparait pas même au cœur de la pire tourmente, c’est 1940. La ligne de démarcation aurait dû/devait briser la France. Cela n’a pas été le cas. Pourquoi ? Parce que le pays s’est réveillé plus solide que la débâcle de 1940 n’aurait pu le laisser penser. La France de 1940, c’est peut-être l’esprit d’héroïsme ordinaire qui manque tant aujourd’hui. Ce sentiment qu’il n’y a pas le choix. Il faudra se battre pour que survive la République. Au sens propre comme au sens figuré. Mais vous vous demandez pourquoi le pays ne s’est pas effondré en 1940-1941 alors qu’aujourd’hui on parle d’un archipel français avec des fêlures à tous les étages… D’abord un évident rectificatif la France de 1940 commence par s’écrouler. Elle n’existe plus. C’est la débâcle. L’armée française est en déroute. Tout cela, les Français le vivent dans le plus grand des désespoirs. Mais l’histoire de la ligne de démarcation instaurée avec l’armistice de juin 1940 montre comment, face à cette séparation du pays en deux, l’âme française se rebelle et tient bon malgré tout. Il y a eu, on le sait et les historiens l’ont montré, quantité de salauds » qui ont pactisé avec l’occupant pour mener les plus sales besognes, dénoncer les résistants, dénoncer les juifs, etc… Le régime du Maréchal Pétain n’est en rien le sauveur de la France. Ce qui sauve la France, ce sont les Français. Certains sont des héros. Beaucoup s’accommodent de l’occupation nazie. Mais ils retrouvent surtout, de part et d’autre de la ligne de démarcation, le sens de l’unité et de la fraternité. Il faut tenir ensemble. Tenir ensemble ces deux mots, aujourd’hui, manquent terriblement, je crois, dans l’univers politique national. Pour vous, l’héroïsme aujourd’hui consisterait à repérer et réparer ces multiples plaies qui défigurent la France… L’héroïsme qui fait société » est l’héroïsme ordinaire. L’histoire de la ligne de démarcation est de ce point de vue éloquent. D’un seul coup, parce que cette ligne passe en bas de chez eux, qu’elle emprunte le tracé de la rivière voisine ou qu’elle coupe à travers leurs champs, des paysans deviennent des passeurs et des justes ». Les cheminots forment une extraordinaire chaîne de solidarité, de part et d’autre de la ligne. J’aime ce mot passeurs » car il dit bien ce qui manque peut-être à la France de 2022 des passerelles qui redonnent confiance entre les îles de l’archipel français. Est-ce naïf de penser cela ? Peut-être. Mais je le répète en 1940, la France aurait pu/du disparaitre. Or cela n’a pas été le cas. La France est plus solide que beaucoup de Français ne le pensent. C’est aussi la leçon de mon voyage le long de l’ex ligne de démarcation. Cet entretien est également disponible sur MediapartLeClub.

u8VN. 235 179 351 261 148 309 63 65 314

la france divisée contre elle même