Leseul défaut qu'on pourrait lui trouver est sa durée de vie. Environ 6 heures de jeu (en difficulté normale), pour un DLC vendu 20€, je trouve que c'est un petit peu court, d'autant plus qu'il n'ajoute que du contenu narratif. Le Season Pass, vendu 30€, est clairement un meilleur deal si les prochains DLC sont dans la même veine.
Science-fiction Action Fantastique Avec l'arrivée du très attendu Halo Infinite, il est normal que beaucoup de joueurs et joueuses se replongent dans cette saga incontournable du jeu vidéo. C'est ce qu'on a fait et c'est justement pour ça qu'on vous dévoile notre classement des précédents épisodes de Halo, une des plus grandes licences de science-fiction vidéoludique. NOTRE TEST DE HALO INFINITE pourquoi c'est un espoir pour l'avenir de la saga Tout a commencé en 2001 sur le continent américain et en 2002 chez nous avec Halo Combat Evolved, lors du lancement de la Xbox, première console de Microsoft. Depuis lors, la saga Halo continue d'influencer toute équipe souhaitant développer un jeu de tir. Il s'agit également de la licence la plus lucrative de Microsoft même en comptant l'acquisition du catalogue Bethesda, eh oui, il n'est donc pas étonnant de voir la firme continuer de lui faire traverser les générations de consoles. De la Xbox à la Xbox 360, de 2001 à 2010, les jeux Halo sont développés par le studio Bungie qui a chéri son bébé pendant dix ans. À la fin des années 2000, le studio 343 Industries est justement fondé dans le but de succéder à Bungie qui commençait déjà à travailler sur Destiny. Le changement d'équipe très clairement tourné plus d'une page dans l'histoire de la franchise, pour le meilleur et pour le pire. Et on s'excuse à l'avance, même si tout le monde s'en fiche un peu, mais les petits jeux tels que Halo Spartan Assault et Spartan Strike ne font pas partie de ce classement. Ce qui nous intéresse ici, ce sont les jeux conçus pour nos consoles de salon ornementées d'un grand X vert oui, certains sont sur PC et Mac, on sait. Sans plus attendre, voyons quels ont été les hauts et les bas de l'univers créé par Bungie. C'est l'histoire d'un mec... Qui tient toujours ses promesses. 10. HALO 5 GUARDIANS C'est lequel, celui-là ? Alors que le Major part à la recherche de Cortana avec sa Blue Team de Spartans, le Spartan Locke et l'équipe Osiris poursuivent cette Blue Team parce que ouin ouin c'est pas bien de désobéir aux ordres. Les deux groupes sont attaqués par plein de Forerunnes pas contents. Pourquoi c'est décevant Dernier du classement ne veut pas forcément dire nul. Halo 5 Guardians a des qualités comme le fait d'inclure au scénario les frères et sœurs d'armes du Master Chief qu'on découvrait dans l'univers étendu. On a aussi l'occasion de voir à quoi ressemble la planète Sanghelios, foyer des Élites. Le plot twist du dernier acte qui nous brise le cœur avait le mérite d'être intéressant, tout comme ce qu'annonçait la cinématique finale. La légendaire Blue Team ce qu'il en reste Le problème, c'est que le jeu ne nous donne pas ce que promettait sa promo, notamment une trahison du Major envers l'UNCS qui menait à une lutte fratricide entre lui et d'autres Spartans. On devait également découvrir ce qu'étaient ces fameux gardiens » du titre, mais ces derniers n'arrivent qu'à la fin comme un cheveu sur la soupe c'est un peu comme les soi-disant révélations d'Assassin's Creed Revelations, hihi. À cela s'ajoutent des personnages un peu fades et une direction artistique qui se rapproche des Call of Duty futuristes récents. C'est aussi le cas du mode multijoueur, clairement pensé pour l'e-sport, qui pour le coup ressemble vraiment à du Call of et ne donne plus l'impression de jouer à Halo. Le second coup d'essai de 343 Industries après Halo 4 fut donc un peu décevant, mais les images de Halo Infinite font heureusement vivre de l'espoir. Dernière chose Halo 5 ne permet pas de jouer en écran scindé, et ça, c'est scandaleux. La Fireteam Osiris 9. HALO WARS C'est lequel déjà ? Vous savez, c'est le jeu stratégique en vue isométrique développé par les parents d'Age of Empires. Le joueur contrôle l'équipage de l'UNSC Spirit of Fire contre les troupes de l'alliance Covenante dans une guerre commencée il y a cinq ans et déjà perdue d'avance. Pourquoi c'est pas si ouf Soyons clairs, l'idée de raconter aux joueurs comment se déroulaient les premiers conflits entre humains et Covenants était excellente. L'intrigue de Halo Wars se déroule en 2531, soit 21 ans avant les événements de Halo Combat Evolved et ce n'est hélas pas l'impression qu'on a. La direction artistique ne nous dépayse même pas un petit peu et on se dit que l'histoire pourrait se dérouler en plein milieu de la trilogie principale. Les têtes pensantes du Spirit of Fire Le principal problème est que l'équipe d'Ensemble Studios n'a pas eu énormément de temps pour développer le jeu. En plus de cela, il a fallu imaginer comment adapter le gameplay d'un Age of Empires, conçu pour le PC, à la manette de la Xbox 360 oui, car il a fallu attendre sept ans avant que le jeu ne soit disponible sur PC. On note quand même que les cinématiques sont plutôt jolies et bien animées pour un jeu de 2009 même si la VF est assez gênante, dommage que les graphismes des séquences de jeu ne soient pas au même niveau. Il est vrai qu'un jeu de stratégie en temps réel est censé pouvoir s'accorder à n'importe quel univers. Il est aussi vrai que le premier Halo devait être un STR... mais il est indéniable que tout le monde préfère la recette d'un FPS quand il est question de cet univers. Les Spartans de la Red Team 8. HALO WARS 2 C'est lequel déjà ? Il s'agit d'une suite à Halo Wars, sauf que ça se passe deux décennies plus tard, pas longtemps après les événements de Halo 5. Le joueur y contrôle toujours les mêmes troupes de l'UNSC Spirit of Fire et y découvre une faction ennemie redoutable. Pourquoi c'est mieux Dans Halo Wars 2, l'équipage du Spirit of Fire se réveille après vingt-huit ans de sommeil cryogénique alors que le vaisseau approche de l'Arche, la gigantesque installation Forerunner de Halo 3. Les quelques bases de l'UNSC qui s'y trouvent semblent avoir été ravagées par des vilains pas beaux. Il s'agit des Parias the Banished en VO, des anciens Covenants qui se sont rebellés contre les Prophètes ; à leur tête se trouve Atriox, l'impitoyable brute comparable à Gengis Khan à une échelle galactique. L'entrée en scène impressionnante et angoissante d'Atriox Par rapport à son prédécesseur, Halo Wars 2 a l'avantage d'être également sorti sur PC et pas seulement sur Xbox, une grande partie des joueurs ont donc pu profiter de son gameplay comme ils l'entendaient. Le jeu a été développé à la fois par 343 Industries et surtout Creative Assembly connu pour la licence Total War. Les deux studios ont donc pu se diviser intelligemment les tâches et n'ont pas eu besoin de trop se presser. Bon, d'accord, la plupart des joueurs ont relevé des ralentissements quand ça pète de partout. La jouabilité ne cherche pas à révolutionner quoi que ce soit, on voit surtout que le jeu veut préparer le terrain pour Halo Infinite et ce n'est pas pour nous déplaire, on aime beaucoup les Parias. Ce qu'on aime aussi, ce sont les cinématiques encore plus belles que dans le premier. Rien d'étonnant de la part de Blur Studio, à qui on devait déjà les cinématiques de Halo 2 Anniversary et plein d'effets spéciaux du cinéma. En parallèle, les séquences de jeu sont assez agréables à regarder. Hologramme/20 7. HALO 4 C'est lequel déjà ? Alors que tout le monde ou presque le croyait mort, Master Chief est réveillé d'une sieste de 4 ans par une Cortana complètement psychotique, il doit sauver le vaisseau Infinity paumé sur une planète pas vraiment paradisiaque et castagner des tonnes de Forerunners. Pourquoi c'est l'épisode d'une résurrection un peu molle Premier épisode de la saga Halo post-Bungie, le jeu prend de grandes largesses par rapport à l'histoire de la première trilogie appelons ça le syndrome Star Wars. Inaugurant un nouvel arc narratif intitulé the Reclaimer Saga la saga du Dépositaire en VF, ça claque moins. Halo 4 met au centre de l'intrigue les Forerunners, et fait d'eux les antagonistes principaux. Quand Halo se la joue Matrix Et malheureusement, ce choix plombe quelque peu ce quatrième épisode. Les Forerunners ne sont pas à la hauteur des Covenants en termes de design, de variété et de charisme. Et comme conscient de cette faiblesse, le studio surcompense cela en rendant les Forerunners quasi enragés dans la seconde partie du jeu. Malgré quelques moments de gloire, comme la mission d'escorte du Mammoth vers le Reclaimer, mémorable, et l'ajout de véhicules plutôt sympas pour des séquences de carnage sur roues assez jubilatoires, le tout manque de sel. En tant que coup d'essai d'un nouveau studio sur une aussi grosse licence, 343 Industries ne s'en sort pas si mal. D'un point de vue technique le jeu fait honneur à la Xbox 360 et reste très agréable à l'œil, même en 2021. Cependant, l'histoire et la construction globale du jeu sont un peu brouillonnes, et souffrent de la comparaison avec la trilogie originale. Et quelle idée a pris aux développeurs d'ajouter du dubstep à la bande originale ? Ah shit, here we go again 6. HALO INFINITE C'est lequel déjà ? Quelques mois après les événements de Halo 5 Guardians, les troupes de l'UNSC et les Parias s'affrontent au-dessus du Halo Zeta, une installation Forerunner où se trouve Cortana. Il est question d'y trouver une entité antique encore plus menaçante que le Parasite. Pourquoi c'est un épisode réconfortant À l'heure où nous écrivons ces lignes, Halo Infinite est disponible depuis presque quatre mois et les développeurs ne nous ont pas encore tout dévoilé. En ce qui concerne le multijoueur, il y a suffisamment de modes pour nous divertir pleinement. On aimerait évidemment un peu plus de maps, notamment en Big Team Battle, un mode qui implique 24 joueurs, mais on suppose que les prochains pass de combat nous donneront ce qu'on mérite. Reviens là , que j'te teabag ! Côté campagne solo, on sent que 343 Industries compte sur la nostalgie pour nous séduire. Quand on se balade dans le Halo Zeta, on respire le même air que sur l'Installation 04 du premier volet de la saga. L'expérience en monde ouvert évoque parfois Borderlands ou Far Cry, mais l'essence de Halo reste présente du début à la fin. Les véhicules, les armes, le comportement des IA... Tout est pensé pour nous offrir une campagne aussi fun que possible. On regrette bien sûr que les environnements soient aussi peu variés, mais le scénario n'en est pas moins cohérent et assez prenant pour nous donner envie d'aller au bout. Les grands absents sont sans aucun doute la coop et le mode Forge, qui devraient a priori arriver avec la saison 2 du battle pass. Il serait d'ailleurs logique que l'histoire nous propose un deuxième acte avec l'arrivée de la coop et de certains personnages des précédents jeux. On pense notamment à Palmer, la team Osiris et le légendaire Arbiter. Notre test de Halo Infinite À quand la suite ? 5. HALO COMBAT EVOLVED C'est lequel déjà ? Alors que le vaisseau Pillar of Autumn insérer métaphore phallique se fait attaquer par les Covenants, le Master Chief se retrouve à atterrir en catastrophe sur un Halo et à protéger Cortana, une intelligence artificielle qui ne doit pas tomber entre les mains de l'ennemi. Pourquoi c'est une origine intemporelle À sa sortie, Halo Combat Evolved est le jeu qui a servi de pilier principal à la toute première Xbox. Avec son univers foisonnant, son monde ouvert enchanteur et sa musique aux accents grégoriens, les aventures du Major ont lancé la console de Microsoft dans le futur, au point de marquer à tout jamais l'industrie du jeu vidéo. Tin tin tin tiiiiiiiin.... tin tin tin tiiiiiiiiin... Certes, rétrospectivement, Combat Evolved possède quelques carences dans sa campagne au rythme en dents de scie. Cependant, il est indéniable que les équipes de Bungie ont su donner aux joueurs une sensation de puissance jouissive, en lâchant leur personnage dans un monde hostile où les possibilités d'interaction avec les armes et les ennemis sont nombreuses. Pour autant, Halo premier du nom a aussi pour lui une progression réfléchie, principalement due à sa virée horrifique impressionnante dès lors que notre héros surpuissant se voit submergé par la menace des Floods. Mais ce qui fait d'Halo un jeu culte, c'est la perfection de son gameplay, qui a su adapter pour plusieurs générations la manière dont un FPS doit être pensé pour une console. Entre son système de déplacement et de visée fluides, son coup de mêlée mythique, ou encore la stratégie que demande le port de seulement deux armes, Combat Evolved a su cacher derrière sa simplicité apparente une incroyable richesse. Pas étonnant qu'il soit devenu un incontournable du multijoueur, en amenant des geeks acharnés à se retrouver pour des LAN parties aujourd'hui fantasmées. Allez les gars, on va tous les teabag ! 4. HALO 3 ODST C'est lequel déjà ? Halo 3 ODST est un spin-off se déroulant sur Terre, pendant les événements de Halo 2 et 3. Nous y incarnons des soldats de l'UNSC qui essaient tant bien que mal de protéger une ville assiégée par les Covenants. Pourquoi c'est génial Alors que Bungie espérait en avoir fini avec Halo, Microsoft leur commande deux derniers jeux avant de les laisser partir. Ne voulant plus impliquer le Major, Joseph Staten, le principal scénariste du studio, se dit Et si on faisait un film noir dans l'univers de Halo ? ». L'idée était de raconter une histoire un peu plus humaine avec des personnages, certes coriaces, mais beaucoup plus vulnérables que des Spartans. À partir de là , les concepteurs artistiques se mettent au travail et finissent par convaincre le compositeur Martin O'Donnell d'être de la partie. Breath of the Wild avant l'heure Le gameplay de Halo 3 ODST nous plonge dans les rues de la Nouvelle Mombasa, un monde semi-ouvert où un des personnages, le Bleu, enquête pour savoir ce qui est arrivé à son équipe. L'intrigue nécessite de jouer la campagne une première fois en solo pour bien comprendre tout ce que le jeu a à raconter vous pouvez évidemment jouer comme vous voulez et avec qui vous voulez, et à mesure que l'enquête avance, on s'attache pas mal aux personnages. Deux d'entre eux sont d'ailleurs doublés par Nathan Fillion et Alan Tudyk, car les développeurs sont de gros fans de Firefly. À défaut d'avoir un mode multijoueur comme ses prédécesseurs, ODST propose le mode Baptême du Feu qui consiste à affronter des vagues d'ennemis et survivre le plus longtemps possible. Rien de révolutionnaire, juste un max de fun à partager avec vos amis en écran scindé ou via le Xbox Live. L'escouade Alpha-Nine 3. HALO REACH C'est lequel déjà ? C'est le dernier Halo développé par Bungie et c'est celui qui se passe quelques semaines avant Combat Evolved. On y incarne un Spartan de troisième génération alors que les Covenants arrivent sur la planète Reach, dernier bastion de l'humanité avant la Terre. Pourquoi c'est génial Halo Reach est le cadeau de Bungie fait aux joueurs avant de quitter Microsoft tout ça pour aller se faire maltraiter par Activion avec Destiny, on n'aurait pas rêvé mieux. Les dialogues du début de Halo 2 nous évoquaient la chute de la planète Reach face à la puissance de la flotte Covenante ; malgré cela, le déroulement de l'intrigue de Reach nous laisse croire que, tant qu'on peut encore se battre, il y a de l'espoir. Une intro pas forcément rassurante On a affaire à des personnages badass et attachants, une direction artistique merveilleuse, des batailles super fun en solo comme en co-op, le tout rythmé par une histoire tragique qui élimine les personnages un par un dans des cinématiques super bien réalisées. Le très peu de fan-service suffit à ravir les fans, surtout quand on découvre enfin le Dr Halsey, la maman » de tous les Spartans, qui confie Cortana au protagoniste pour l'emmener sur le Pillar of Autumn. Plus on joue, plus on a la possibilité de personnaliser l'armure de Noble 6, le mystérieux protagoniste, c'est aussi ce qui permet de différencier vos camarades en co-op. D'ailleurs, Halo Reach dispose d'un des meilleurs modes en ligne de la saga probablement ex æquo avec Halo 3, qui nous a fait passer des heures sur le Xbox Live à se battre pour les meilleures armes de chaque map, toutes plus ingénieuses les unes que les autres sauf une qu'on ne citera pas. La bonne vieille map Compte à rebours 2. HALO 2 C'est lequel déjà ? Alors qu'il reçoit une médaille comme dans Star Wars, le Master Chief doit empêcher une flotte Covenant d'attaquer la Terre, et découvre surtout que les aliens ont trouvé un deuxième Halo comme dans Star Wars. L'épisode qui ose tout, et c'est génial Plus grand, plus fort, plus fou, Halo 2 a eu l'ambition d'être encore meilleur que son aîné, devenu entre-temps un jeu incontournable. Néanmoins, les limites techniques de la Xbox ont vite obligé Bungie à faire preuve de malice, surtout lorsqu'ils se sont décidés à mettre en scène de grands moments de guérilla urbaine sur Terre. L'Arbiter, un bien beau personnage Ainsi, malgré son level design plus resserré, Halo 2 est un titre qui ne cesse d'impressionner, comme lors de la bataille de New Mombasa. Mais surtout, les développeurs ont eu l'idée de génie de renouveler l'expérience du premier opus en offrant non pas un, mais deux points de vue. Avec un retournement de situation digne de Metal Gear Solid 2, la suite de Halo alterne entre des séquences dans la peau du Master Chief, et des passages dans le rôle d'un commandant Covenant déchu après les événements du premier jeu. Non seulement cet ajout permet d'approfondir grandement le monde des extraterrestres et leur politique, mais elle délivre aussi un récit plus tragique, centré sur la quête de rédemption d'un être rejeté par les siens. L'univers de Halo n'en devient que plus sublime, comme s'il mettait en exergue la petitesse de nos héros dans cette immensité cosmique. Ajoutez à cela le génial fusil de combat, l'épée à énergie et la possibilité de faire de l'akimbo, et voilà qu'Halo 2 parvient à devenir encore plus fun et stratégique. Tandis que le premier volet s'est imposé comme un jeu culte des LAN parties, sa suite a été le titre à même de donner vie au Xbox Live, et d'amener Microsoft et le FPS dans une nouvelle ère du online. Vous reprendrez bien un peu de plasma ? 1. HALO 3 C'est lequel déjà ? Alors que le Master Chief s'écrase encore sur Terre en pleine jungle africaine, il doit mener une course contre la montre pour empêcher le Prophète de la Vérité d'atteindre l'Arche, l'imprimante 3D géante capable de produire des Halos. Pourquoi c'est le Halo pour les gouverner tous Après la claque du deuxième épisode, et surtout après trois années à attendre fébrilement pour savoir où allait mener le cliffhanger insoutenable de la fin de Halo 2, Halo 3 arrive comme le messie en 2007. Et ce fut l'épisode du "on pousse tous les potards à 1000" sur tous les aspects. La campagne de Halo 3 est de loin la plus passionnante de toute la saga. Menée de main de maître, elle vient conclure les arcs de Master Chief, de Cortana et de l'Arbiter de façon parfaitement cohérente. Outre une narration au top et un rythme parfait, l'aventure réserve les gunfights les plus inoubliables de la saga, et des phases en véhicules bourrées d'adrénaline, avec pour climax la fuite finale en Warthog, absolument culte. Amicalement vôtre Mais comment parler de ce troisième opus sans évoquer son mode multijoueur ? Premier titre de la saga sur Xbox 360, Microsoft avait misé gros sur le volet online du jeu, et ce à raison, puisqu'aujourd'hui encore, l'expérience multi de Halo 3 est considérée comme l'une des meilleures de toute l'histoire du jeu vidéo. Les cartes furent savamment conçues, et fourmillaient de détails. Leur level-design brillant amenait à l'élaboration de stratégies complexes et réservait de beaux moments de bravoure en équipe. Mention spéciale à The Pit, une merveille de conception. Plus important encore, le mode Forge permettait aux joueurs les plus créatifs de concevoir leurs propres cartes et modes de jeu, ce qui assurait au titre une durée de vie quasi sans fin. Avec son gameplay aux petits oignons, sa campagne maitrisée de bout en bout et sa durée de vie colossale en multi, rien d'étonnant au fait que presque 15 ans après sa sortie, il reste l'un des jeux de tir à la première personne les plus appréciés de tous les temps. Newsletter Ecranlarge Recevez chaque jour les news, critiques et dossiers essentiels d'Écran Large. Vous aimerez aussi
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A peine 5 mois après la sortie de Doom Eternal, voici que pointe le bout de son nez The Ancient Gods Partie 1, le premier DLC du jeu qui prolonge l'histoire entamée. Alors que le Doom Slayer avait empêché la conquête de la Terre en allant jusqu'au cieux et en terrassant la Kahn Maykr et l'Icône du Péché qu'elle avait invoquée, cet acte eut des conséquences fâcheuses, des démons étant restés sur place qui commencent à mettre un peu le bazar. C'est donc au Doom Slayer, et donc indirectement à nous, qu'il incombe de remettre un peu d'ordre ! On reprend presque les mêmes... et on recommence ! On se retrouve ainsi une nouvelle fois dans la peau du bourrin de service, avec heureusement toutes les armes et améliorations que l'on a débloquées durant la campagne avec même celles que l'on n'aurait pas obtenues. Je dis bien heureusement, car l'on retrouve tout le bestiaire démoniaque auquel on avait eu affaire précédemment, le jeu proposant par ailleurs quelques petites nouveautés de gameplay. C'est le cas par exemple des tourelles, faisant apparaître des démons tant que l'on ne les a pas dégommées. Le moyen le plus simple pour cela étant d'utiliser la lunette du fusil d'assaut. Un bon moyen, je trouve, pour ne pas nous laisser nous ancrer dans une certaine routine et pour nous obliger à utiliser des armes qu'on pourrait délaisser. Le challenge est clairement au rendez-vous. Dès le début, pas de répit. La difficulté reprend au même point où on l'avait laissé à la fin du jeu de base, et même encore plus. C'est-à -dire plutôt relevée ! Les ennemis sont nombreux, très nombreux et pour certains, plutôt imposants et coriaces. On retrouve d'ailleurs deux nouveaux ennemis dans le bestiaire déjà bien fourni. Le premier est une sorte de spectre prenant possession des ennemis, les rendant encore plus redoutables. Une fois vaincu, c'est avec le rayon du fusil plasma qu'il faudra l'éliminer pour de bon, façon Ghostbusters ! Le second n'est sensible qu'aux headshots et seulement à un moment précis quand il attaque... il va donc falloir bien viser ! Mon avis Doom Eternal m'avait déjà laissé un très bon sentiment, ID Software ayant réussi le pari de reboot une série un peu sur le déclin d'une très belle manière. Et ce premier DLC fait plutôt honneur au jeu de base. Solide techniquement avec une optimisation sur PC excellente, très rythmé, doté d'un bestiaire varié et coriace, c'est un réel plaisir de se replonger dans cet univers violent, speed, un peu crado même, mais tellement jouissif. Le seul défaut qu'on pourrait lui trouver est sa durée de vie. Environ 6 heures de jeu en difficulté normale, pour un DLC vendu 20€, je trouve que c'est un petit peu court, d'autant plus qu'il n'ajoute que du contenu narratif. Le Season Pass, vendu 30€, est clairement un meilleur deal si les prochains DLC sont dans la même veine. Quoi qu'il en soit, si vous avez aimé Doom Eternal The Ancient Gods ne pourra que vous faire plaisir ! L'avis de Sodzounet Personnellement, ce nouvel opus de DoomEternal et son extension "The Ancient Gods - Part One" montrent que soit les devs n'aiment pas les joueurs et veulent leur faire payer une enfance malheureuse avec un sadisme inégalé, soit ils les adorent et montrent un talent admirable pour proposer toujours plus de défi pour les pousser dans leurs retranchements. Le gameplay est toujours aussi nerveux et demandera, bien plus que dans la campagne principale, de réfléchir aux armes à utiliser en fonction de l'ennemi qui arrivera en surnombre. On avance, on meurt, on souffre et on aime ça... ce jeu est juste tellement addictif quand on est dans l'ambiance qu'il demandera une concentration maximale pour réussir à venir à bout des vagues de démons qui veulent vous tailler en pièces. Rangez les gosses, faites-vous livrer, c'est "The Ancient Gods - Part One" que vlà !
Fmjt. 129 338 152 202 307 66 243 205 126
far cry 6 le rythme dans la peau