Sortir Bordeaux Spectacles Comédie Gratuit Théâtre Comédie Grand Spectacle One Man Show Festivals Enfants Opéra/Ballet DATE Du Mardi 11 septembre 2018 au samedi 12 janvier 2019 HORAIRE Divers horaires TARIF 21,8 euros ATTENTION événement terminé ! Evénement proposé via notre partenariat avec Carrefour Spectacles Et vous, que feriez-vous si » La Mort » débarquait dans votre salon ?! Caroline et Franck forment un couple classique, donc en crise à la limite de l’implosion sentimentale ». Ils ont délimité leur appartement en deux et enchaînent les mesquineries réciproques pour faire craquer l’autre ! C’est au beau milieu de ce champ de bataille que s’invite la mort, maladroite, sensible et que l’on n’osait imaginer aussi drôle ! Une comédie survoltée avec de l’action, du suspens, des quiproquos, et des répliques qui fauchent tout sur leur passage ! Le Saviez-vous? Déjà 200 000 spectateurs pour un succès… Mortel ! Quand ? Horaires SI JE T'ATTRAPE, JE TE MORT ! Du Mardi 11 septembre 2018 au samedi 12 janvier 2019 Horaires Divers horaires Autres Comédie en ce moment Jusqu'au 6 novembre 2022 LES CACHOTTIERS Comédie Attention Un cachottier peut toujours en cacher un autre ! Depuis que sa femme l’a quitté pour un médecin... COMPLEXE BOCAPOLE - Bressuire 79300SIJE T'ATTRAPE, JE TE MORT! (moyenne sur 37 notes) COMÉDIE de et mise en scène par Olivier Maille, avec Dorothée Moreau, Thierry Simon et Julien Gaetner. Caroline et Franck forment un couple classique, donc en crise, à la limite de "l'implosion sentimentale". Ils ont délimité leur appartement en deux et enchaînent les mesquineries réciproques pour faire craquer l'autre.
LES DEUX MORTUS publié le 05/11/2011 Café-Théâtre les Minimes Si au hasard des affiches colorées votre œil a cru déceler une faute d’orthographe, qu’il se détrompe. Après les délires du couple d’allumés Dellile et Lallement, le café-théâtre des Minimes ouvre ses portes à un trio d’acteurs qui n’ont bien entendu toujours pas décidé de donner dans le sérieux Si je t’attrape je te mort, moment de café-théâtre qui détend par le plaisir évident des comédiens sur scène. – Ton prénom ? – La. » Caroline et Franck ne peuvent plus s’encadrer ni se voir en peinture. On ne sait pas trop pourquoi et à vrai dire nul ne s’en défrise le sujet n’est pas là. Ce qui importe, c’est l’hystérie collective, la petite haine amoureuse qui grignote, tel Franck ses Crunchs. Le spectateur les découvre en plein partage territorial, divisant l’appartement avec le sparadrap de la colère. Au centre, un jeu d’échecs, seul moyen de prendre des décisions communes… Bref, un couple standard, dira l’autre. Un couple au voltage de café-théâtre, en tout cas. Là-dessus arrive le troisième larron, en bonne et due forme longue toge noire, chaussettes joliment remontées au-dessus des souliers, faux à la main… C’est bon, vous l’avez reconnu ? Caroline et Franck y mettront plus de temps. Et, vous le devinez, l’intru finira pas semer le doute dans leurs sentiments. Lisez Stanislavski. – Qui ? Je sais pas. » Faut dire qu’il n’est pas de ces faucheuses à glacer le sang, ce monsieur La Mort. On le croirait tout droit sorti de Scary movie, référence évidente d’un jeu burlesque et parodique. Dans ce spectacle où nulle seconde n’est prise au sérieux, La Mort est fan de Francis Lalanne, La Mort sautille avec nonchalance et lance des blagounettes ; La Mort, enfin, est en manque de compagnie et d’affection. Quel métier ingrat, il faut dire, et les temps sont durs – les progrès de la science, tout ça. En venir à monter la température pour faire clamser les vieux dans une canicule, c’est d’un triste… On le voit, l’auteur du texte se réserve deux trois brins de cet humour noir qu’on était en droit d’attendre. Pas assez, certainement. Disons que parallèlement à quelques instants de brio et à une très plaisante autodérision entre autre sur les saillies potaches, le texte traîne en longueur deux retours sur la même situation, tout de même, dramaturgiquement c’en est largement trop. Aux gnagnagnades de couple, on préfère donc les instants d’écriture parodique, dans lesquels les comédiens se sentent d’ailleurs plus à l’aise. Côté jeu, justement, ça fauche sans retenue et fait passer l’ensemble sans trop de casse. Une remarque on sent la comédienne très fragile sur ses répliques et son personnage – certainement ce trait vient-il aussi de l’écriture, mais Caroline reste l’élément le plus stéréotypé et le moins drôle de la pièce… Toutefois, l’ensemble fonctionne grâce à l’énergie propre au trio d’acteurs, et il faut aussi rendre justice au jeu particulièrement efficace de Jérôme Rodriguez. Espiègle au possible, le comédien a le fou rire facile et laisse toujours hésitant quant au degré d’improvisation – une chute par-ci, un arrêt sur image malencontreux par là… Et quelques spectateurs, dans la salle, à deux doigts de mourir de rire. Bref, en dépit d’un manifeste déséquilibre dans le jeu, nul ne boudait son plaisir, et les comédiens encore moins. Une détente contagieuse. Manon Ona
Stage de Théâtre Jouer vrai, travail sur les émotionLa Rochelle - 17 On confond souvent jouer et faire semblant. Le jeu véritable s’apparente à la vie, la vraie vie. L’acteur ne peut mentir tout se voit sur scène, l’insincérité, le faux, le fabriqué, le sur-joué. Être vrai pour l’acteur, c’est avant tout être soi, tomber le masque, se montrer nu. C’est accepter[...]
QI7AzB. 277 165 363 91 31 311 248 351 382